Thursday, May 23, 2013





Discours prononcé par Lucien Célestin MINKA
              Le 09 Mars lors de l’installation du bureau BANS de Paris.


NDOG SUL !

NDOG SUL !

NDOG SUL !

Monsieur Le Président et cher frère,
Distingués membres du bureau de la Section BANS de Paris,

Mes frères et mes sœurs, mes chers enfants,
Je vous remercie du fond du cœur, pour avoir répondu présent à cet appel. Cela témoigne de l’importance que vous attachez à la grande famille Ndog-sul.

Je félicite vivement le bureau récemment élu pour son dynamisme et son engouement et, j’espère, pour sa totale dévotion au BANS.

Je vous transmets également le salut fraternel des membres du Bureau National qui n’ont pas pu m’accompagner, et de l’ensemble des Ndog-sul qui sont de tout cœur avec vous.

Par contre, j’ai le plaisir d’avoir à mes côtés, le Président de la section de Limbe qui a sacrifié de son temps, de son énergie, et de ses moyens financiers pour venir m’assister dans cette exaltante mission.
Merci monsieur Le Président !

Je suis venu réchauffer ce sang ancestral qui coule dans les veines de nos parents, qui coule dans vos veines, ce sang qui coule dans les veines de nos enfants et qui coule également dans mes veines.
Je suis venu vous dire combien ce sang est précieux.

Le flambeau Ndog-sul ne doit jamais s’éteindre !

Nous avons apprécié à sa juste valeur votre geste de générosité aux obsèques de son Excellence Augustin Frédéric KODOCK, de regretté mémoire.
Je vous exhorte à rester davantage soudés et unis pour le rayonnement de notre famille, tant il est vrai que vous constituez la vitrine du BANS ici, en France et pourquoi pas dans l’Union Européenne.

Restez donc vigilants pour capter tout ce qui défile devant vos yeux, tout ce qui passe par vos oreilles, afin de l’introduire dans cette matrice qui pondra des idées nécessaires au bien-être de nos populations rurales.

Pour ce faire, il vous est impératif de consacrer au moins une minute par jour à vous demander ce qui pourrait impulser le développement dans nos villages. A ce titre, je vous recommande qu’il soit inscrit en permanence dans l’ordre du jour de vos réunions un point intitulé projets villageois.

Vous êtes nos vaillants et valeureux ambassadeurs ; à travers vous l’espace culturel BANS peut bénéficier certainement de beaucoup d’atouts et d’opportunités de partenariats gagnant-gagnant dans divers domaines.


Le développement passe par les échanges. Ceci est valable pour les nations, mais également valable pour les individus. Pour notre cas, nous n’avons rien d’autre à échanger que nos produits agricoles et notre culture. Si nous ne produisons pas, nous sommes condamnés à mourir, et à mourir de misère.

Tel est le triste constat !

Des années durant, nous avons résisté parce que nous bénéficiions encore d’un sursis : la forte mortalité infantile, la sous-scolarisation des enfants, le bas niveau de l’espérance de vie des adultes et j’en passe.

Nous avons résisté parce que nous arrivions encore à cultiver artisanalement nos terres,  juste pour l’auto-consommation. Pendant ce temps, d’autres peuples ont maîtrisé d’autres procédés de culture, allant aujourd’hui jusqu’à la mécanisation tout en soignant leur patrimoine culturel.


A l’heure où je vous parle, plusieurs menaces planent sur nos têtes :

-         la plus grave pouvant être la confiscation de nos terres pour non-exploitation,
-         ensuite - le lit du pauvre étant fécond - l’incapacité de nourrir et de scolariser nos enfants,
-         enfin l’incapacité de nous soigner.

Allons-nous rester pantois devant ce mélodrame qui se joue devant nos yeux? Nous qui pouvons en mesurer les conséquences.

 Je suis venu, vous disais-je à l’entame de mon propos, réchauffer ce sang ancestral qui coule dans nos veines. Ce sang qui faisait de  nos ancêtres de vaillants combattants. Ceux-là mêmes qui sont partis de Ngog-lituba jusqu’à Mabun, passant par Manguenda, Mayebeg, Mambinè, conquérant, au prix de leurs vies, des terres et des villages dont nous avons hérité aujourd’hui.
Avons-nous le droit de nous en déposséder ?

Je suis venu vous demander d’agir.
Il faut que tu fasses quelque chose, il faut que je fasse quelque chose, que chacun de nous à son niveau fasse quelque chose.
Sinon les Ndog-sul sont appelés à disparaître, à être rayés de la carte.

Je vous remercie.
                                  






Thursday, May 9, 2013


Réunion Intersection du 20 avril 2013 à Mambinè

            La réunion intersection ordinaire de ce jour s'intercalait entre une réunion du Bureau National et une Assemblée Générale des actionnaires de la COBANS. A cet effet, elle revêtait une importance capitale, car s'inscrivant dans le cadre de la mise en place des actions de développement prônées par le Président National Lucien Célestin MINKA.

            Dans sa prise de parole introductive, le Président a sans ambages posé le postulat de l'importance de l'agriculture dans les contrées Ndog-Sul. Il a indiqué que le partenariat avec AC Ingénierie Agricole Sarl (ACIAS) se poursuivait avec beaucoup de bonheur et qu'à l'heure où il parlait, dix villages Ndog-Sul bénéficiait déjà des bienfaits de ce partenariat. Sur ce, il a passé la parole au Directeur Général de cette structure afin qu'il dresse lui-même le bilan du partenariat avec le BANS et d'en indiquer les perspectives.
M. Jonas ABESSOUGUIE a de prime abord brossé le tableau des actions réalisée et il est apparu ce qui suit:
  • D'abord, la structure qu'il dirige a dressé ce qu'il a nommé un diagnostic de la situation socio-économique de certains villages qualifiés de pilotes. C'est ainsi que les résultats suivants ont été relevés:
  • Sur le plan des acquis: les Ndog-Sul ont un potentiel foncier impressionant. Celui-ci leur confère une puissance agricole potentielle très importante;
  • Les Ndog-Sul sont également très dynamiques sur le plan de la recherche des moyens de survie;
  • le BANS est un outil associatif très respecté des Ndog-Sul et même des autres familles Bassa de la région du Centre.

            C'est au vu de cela qu'il a pensé que sa structure serait très inspirée d'apporter son soutien aux actions de développement du BANS malgré les difficultés que le diagnostic a permis de relever parmi lesquelles:
  • la trop grande dispersion de la famille Ndog-Sul qui se retrouve installée dans trois régions du Cameroun, à savoir le Centre, le Littoral et même le Sud.
  • Le mauvais état des routes reliant les zones rurales aux zones urbaines et pire encore celles communicant entre les villages Ndog-Sul.
  • Les pesanteurs socio-politiques. A cet effet, il a déploré les conséquences désastreuses des rivalités politiques entre les élites Ndog-Sul pendant de très longues années. Ces rivalités, ont relevé les études, ont grandement contribué au ralentissement de la vie associative de la famille et partant celui des activités génératrices dee revenus pour le bien-être de la communauté.
  • Les tergiversations quant au lancement effectif des activités de la Coopérative du BANS (COBANS).

            Pour venir à bout de ces difficultés et de beaucoup d'autres qu'il avait pris le soin de compulser dans une documentation remise au Bureau National, il a édicté des mesures à prendre dans les plus brefs délais afin que le partenariat agricole entre ACIAS et le BANS produise les fruits escomptés. Celles-ci ont elles aussi été remises au Bureau National à travers un document mettant en exergue la stratégie proposée par ACIAS.

            A sa suite, les membres de l'assemblée intersection ont eu la possiblité de demander de plus amples éclaircissements sur des points qui leur semblaient encore obscurs. Le Directeur Général d'ACIAS, le Conseiller Spécial et le Président National du BANS ont tour à tour donné du leur pour que les questions les plus compliquées trouvent des explications satisfaisantes.
Il s'est ainsi dégagé de ces interventions qu'un plan d'action pour la prochaine année avait été élaboré et que toute section aspirant à un appui sous quelque forme que ce soit devrait au préalable se rassurer qu'elle est en règla dans ses cotisations au Bureau National.

        Il a aussi été recommandé aux sections d'étudier et de planifier leurs projets de développement. Le Conseiller Spécial, Me Etienne Gérard KACK KACK, a particulièrement insisté sur le volet planification au niveau des sections. Quue les réunions des sections servent de véritables comités de développement avec des points concrets à l'ordre du jour. Les décisions concernant la mise en place des projets ne prennent pas au pif! Il a été recommandé une plus grande collaboration entre les responsables des sections et le Secrétariat Général du Bureau National qui les mettra en contact avec les ingénieurs agricoles d'ACIAIS afin d'avoir toutes les informations afférant auxdits projets.

           Les cotisations du jour des sections se sont déclinées comme suit:

Sections
Fonctionnement
Fiches
Autres
Eséka
60.000
10.000


Boumyebel




Edea




Douala

75.000
Rapport d'activités
Lihong Nord

10.000


Lihong Sud




Bobog II




Bobog I
10.000
2.000
Rapport d'activités
Minsè Centre
15.000



Minsè II

5.000


Bot-Makak




Manguenda II




Ngi-Manguenda




Bibodi




Libellingoi Nord




Libellingoi Sud




Lamal-Pougue




Ngoung




Mayebeg




Manyai
10.000
21.000


Mambinè

13.000
Rapport d'activités
Lindoi


Rapport d'activités
Otélé




Mom I




Mom II
15.000



Song-Ntap
10.000
5.000


Mambando
15.000

Rapport d'activités
Bakoukoue




Makak




Maboun
22.500
45.000
Rapport d'activités
Mbalmayo
15.000



Boumkok




Yaoundé




Makop

2.000


Makak Logbakoo




Ngi Bongo




Si Bongo





Quelques responsables ont donné des nouvelles de la vie de leur section:
  • Le Président de la section d'Eséka a émis le voeu de voir les Ndog-Sul en général et plus particulièrement le BANS faire des affaires dans la ville d'Eséka qui, selon lui, offre des opportunités d'affaires énormes que d'autres communautés n'hésitent pas à saisir au bond.
  • La section de Mom I a annoncé la maladie de son Président.

C'est sur ces entrefaits que la réunion ordinaire intersection du 20 avril 2013 a pris fin pour laisser la place à l'Assemblée Générale des actionnaires de la Coopérative du BANS.

Friday, February 15, 2013

REUNION INTERSECTIONS DE GRANDE IMPORTANCE A MAMBINE LE 02 FEVRIER 2013

REUNION INTERSECTIONS DE GRANDE IMPORTANCE A MAMBINE 
LE 02 FEVRIER 2013

 La dernière réunion INTERSECTIONS du BANS qui s'est tenue à MAMBINE le 02 Février 2013 a permis de donner des informations essentielles aux sections et de prendre le pouls de leur fonctionnement. C'est ainsi qu'un mini-calendrier de descente sur le terrain du BUREAU NATIONAL afin de procéder à l'installation des bureaux de sections récemment élus a été communiqué. Il se décline comme suit:

 le 02 mars 2013: Section de Limbé

 le 09 mars 2013: Section de France

 le 23 mars 2013: Section de Yaoundé

 En outre, un calendrier des prochaines réunions Intersections a également été communiqué. Ainsi, ils auront lieu comme suit:

 le 20 avril 2013 à 10h

 le 27 juillet 2013 à 10h

 le 19 octobre 2013 à 10h.

 Au cours de la même réunion Intersections, certaines sections du Boma Adna Ndog-Sul ont remis leurs rapports d'activités au Bureau National. Il s'agit notamment des sections suivantes:

 Edéa

 Bobog II

 Bot-Makak

 Boumkok

 Libellingoi Nord

 Lihong Nord

 Lindoi

 Maboun

 Mambando

 Mambinè

 Mangenda II

 Otélé

 Eséka

 Il convient de souligner que beaucoup de ces rapports portaient sur les élections des bureaux de section. Le BUREAU NATIONAL a exhorté les sections n'ayant pas encore procédé au renouvellement de leurs organes dirigeants de le faire dans les meilleurs délais faute de quoi elles seront considérées comme inexistantes.

 Les montants des cotisations annuelles des sections au BUREAU NATIONAL ont été par ailleurs rappelés. Ceux-ci se répartissent comme suit:

 Sections Métropolitaines de Douala et de Yaoundé: 300.000 CFA/section

 Sections Urbaines de Kribi, Eséka, Edéa, Mbalmayo et Limbé: 120.000 CFA/section.

 Sections rurales: 60.000 CFA/section

 La contribution annuelle de la section de France reste à déterminer.

 Dans son mot de circonstance, le PRESIDENT NATIONAL, Lucien Célestin MINKA a exhorté les membres du BANS à se rendre disponibles pour les activités de développement. Il a révélé que plusieurs correspondances avaient été adressées aux structures, étatiques et non-gouvernementales, afin que celles-ci assistent les Ndog-Sul dans la recherche des moyens de mise en oeuvre de leur développement. Il a exhorté le membres du BANS à soumettre leurs projets au BUREAU NATIONAL qui les transmettra aux structures compétentes ou à saisir lesdites structures directement. AC Ingéniérie Agricole SARL a été ainsi mis à contribution pour accompagner les Ndog-Sul dans leurs activités agricoles. Le MINADER a été sollicité pour soutenir le développement agricole dans les illages à travers des projets tels que le Projet Manioc, le MINEPAT a été sollicité pour le volet machinerie. Des partenaires extérieurs ont également été approchés pour aider à la construction de pôles de transformation dudit manioc.

 Le PRESIDENT NATIONAL a clos son propos en appelant à une redynamisation efficace et tous azimuts des femmes et filles Ndog-Sul sans lesquelles le BANS n'existerait pas.

 Séance tenante, une somme de 330.000 CFA a été versée dans les caisses du BUREAU NATIONAL représentant les frais d'inscription (170.000 CFA) et le fonctionnement (163.000 CFA).

Monday, February 4, 2013


ACTIONS DE DEVELOPPEMENT DES CONTREES NDOG-SUL: 

RAPPORT DE MISSION DU SECRETAIRE GENERAL ADJOINT AU PRESIDENT NATIONAL.

Les actions de développement telles que programmées par le Président National lors de sa prise de fonctions sont véritablement lancées.

De : Nguidjoi Janvier françois <jnguidjoi@yahoo.fr>
À : "minkavostok@yahoo.fr" <minkavostok@yahoo.fr> 
Envoyé le : Vendredi 30 novembre 2012 14h06
Objet : Compte rendu mission AC Conseil

Faisant suite à votre discours programme où vous avez vivement pris l'engagement d'aider les Ndog-sul à combattre la pauvreté, à tourner le dos à l'assistanat et à apprendre à se prendre en charge, vous avez bien voulu inviter un Cabinet d'experts en développement à l'occasion de la réunion d'intersection tenue à Mambinè le 18/11 2012 pour accompagner le BANS en général et chaque ndog-sul soucieux et conscient des enjeux en particulier dans cette voie de l'émergence.

A cette occasion, il vous a plu de désigner une équipe focale BANS pour veiller et suivre en collaboration avec nos partenaires en développement la mise en œuvre de ce programme. A cet effet, nous avons tenu ensemble le 21/11/2012, une rencontre pour entrevoir un plan de travail. Afin de lier le discours à l'acte nous avons arrêté l'année 2013 comme année pilote ainsi, nous avons planifié des descentes sur cinq Zones pour le lancement et toucher du doigt, les réalités du terrain sur le plan infrastructures, préférences au niveau des spéculation agricoles, élevages,....

Pour le succès de cette opération, vous avez ordonné la sortie d'une somme de 400 000FCFA repartie comme suit:

- 300 000FCFA pour le Cabinet AC Conseil
- 100 000FCFA pour l'équipe focale (le Vice-Président NJECK Simon Pierre et moi SGA1).

Le programme de descente tel qu'initialement fixé prévoyait:

Samedi 25/11/2012
*Zone1(Lihong-Bobog2-Bobog1) 09heures à Bobog2
*Zone2 (Manyai-Mayebeg-Ngoung-Lamal pougue) 13heures à Mayebeg
*Zone3 (Mambinè-Lindoi) 16heures à Mambinè et coucher.

Dimanche 26/11/2012
*Zone4 (Mamboun-Boumkok) 09heures à Boumkok;
*Zone5 (Mom2 Mambando Song-ntap) 13heures et fin de la tournée.

Malheureusement une incompréhension sur le programme a entraîné un retard énorme bouleversant toute la tournée. C'est ici le lieu de reconnaître l'engouement né à la suite de l'annonce de cette mission. Nous l'avons observé à travers la grande patience dont nos populations ont fait montre. prévue à 9hures, c'est autour de 14 h que nous sommes arrivés à Bobog. Avec une participation honorable des trois villages et de leurs chefs, nos experts ont touché les esprits des nôtres qui, très rapidement ont marqué leur adhésion massive d'abord en ce qui concerne le CACAO, le MAÏS, l'ELEVAGE...

Nous avons par ailleurs fait le point des villages qui ne disposent aucun puits d'eau. Rappelons qu'une autre zone a été introduite (Mamguenda-Bibodi) à Bibodi.Ici, nous avons rencontré quelques difficultés relatives à la non organisation de la section de Bibodi; qu'à cela ne tienne, après bibodi nous avons mis le cap sur la zone2 à Mayebeg comme à Bobog tout s'est bien passé sauf le gros retard que nous avons accusé. Fort de ce qui précède, nous avons reporté la zone3 pour dimanche. Vue cette improvisation nous avons été obligé de tenir une rencontre à Mambinè puis à Lindoi et nous avons mis le cap sur Boumkok. Nous avons rencontré d'énormes difficultés suite à la visite de l'Evêque à Boumkok. La réunion n'a pas pu se tenir et nous étions déjà autour de 17heure 30 nous avons résolu mettre un terme à cette tournée. En conclusion, sur 15 villages ciblés, 10 ont pu être touchés.Avec les sections, il a été décidé d'engager les travaux de pépinière pour ce qui est Cacao car il ne reste que le mois de décembre si l'on voudrait vraiment lancer en 2013. l'avantage qu'il faut signaler ici est que pour ce qui est des sachets, nos populations s'en procuraient souvent à 25, 30FCFA; le Cabinet AC conseil leur livre sur place à 7FCFA. Ceci a été bien perçu et ceux qui veulent faire dans le cacao ont pris l'engagement de se procurer les sachets; la date buttoir étant le samedi 10/12/2012. Pour ce qui est du MAÏS, il a été demandé que chaque village puisse constituer sa liste avec sa superficie. Nos partenaire ont conseillé qui faille aller raisonnablement entre 0,5 et 1hectare pour un début. Certains membres ont fait la promesse de mettre à la disposition du Bans du terrain pour les activité de la future société Coopérative suivant les modalités qui à définir le moment venu.
Hymne de la famille Ndog-Sul


Bolom ni boda
Wanda yosona
Di kènèg ni ngèm yada
Di ga niga
Bot bapè bobaso
Lè adna i yé longè

Ref:

Di ga sal mam makèni
Mu 'kété adna lonni gwéha
Di ma sal mam makèni
Mu 'kété adna yes i Ndog-Sul

Nu a njos adna
A yé man tjéna
Ndihè kèni yé jol jé
a bumbul mbolan
lonni li ndengè
Caïn nyèn a yé san wé

Ref:


Di ga sal mam makèni
Mu 'kété adna lonni gwéha
Di ma sal mam makèni
Mu 'kété adna yes i Ndog-Sul

RENOUVELLEMENT DU BUREAU DE LA SECTION METROPOLITAINE BANS DE YAOUNDE (SECTION LUMIERE).


Ce renouvellement a eu lieu dimanche, 7 octobre 2012 dans les locaux de la salle paroissiale de la Paroisse Catholique d'Oyom-Abang. 

Les opérations de vote étaient présidées par le Président National, Lucien Célestin MINKA en personne, assisté de presque tout le Bureau National du BANS.

Une centaine de membres venant de plusieurs Comités de Développement, de Sous-Sections et d'Organes d'Appui constituaient le corps électoral d'où sont sortis une dizaine de candidats pour les 8 postes à pourvoir.


 Les résultats se sont déclinés de la manière suivante:


Président de Section: KACK Emmanuel

1er Vice-Président: NGO NTOMB Félicité
2e Vice-Président: KOI KOI Eric
Secrétaire de Section: YEDE Pierre
Secrétaire Adjoint de Section: NGUIDJOL Emmanuel
Trésorier: ELOGA Jean
Cmmissaires-aux-comptes: KINYOCK Samuel
                                                 NGO NDJIP


La principale recommandation que le Bureau élu a reçu du Président National est de tout mettre en oeuvre pour rassembler les Ndog-Sul installés à Yaoundé dont le nombre s'évalue en milliers. Il leur a recommandé un travail ardu dont les fruits devraient être orientés vers les villages Ndog-Sul de Log Bakoo à Song-Ntap en passant par des dizaines d'autres entre les deux, car d'après lui nos villages sont pauvres en infrastructures, mais cette pauvreté ne découlerait que d'une chose: l'absence d'idées innovantes. Il a donc appelé tous les membres actuels et à venir de la section à soutenir le Bureau nouvellement mis en place, car qu'est-ce qu'un bureau sans les membres?

Sunday, February 3, 2013


CONGRES BANS EXTRAORDINAIRE
«MAMBINE NOUVELLE DYNAMIQUE»
25, 26 et 27 MAI 2012

COMMUNIQUE FINAL

Réunis les 25 26 et 27 mai 2012 à la salle des fêtes à MAMBINE, le Congrès,
Après avoir suivi le discours bilan du Président du Comité d’Organisation Me Etienne Gérard KACK KACK, Conseiller Spécial du BANS
Après avoir suivi les interventions des sections Bans,
Après des débats francs et constructifs,
Considérant le constat que le BANS est à la croisée des chemins,
Considérant les apports constructifs des Associations Amies,
Les Résolutions ci-après ont été prises :
Sur la Politique Générale, le Congrès adopte :
-         La mise sur pied d’un plan d’action quinquennal pour créer une synergie entre le BANS et les associations sœurs
-         La création d’une commission permanente de Règlement des conflits en vue de la redynamisation des sections.
-         La définition des profils des candidats aux postes électifs tant au Bureau National que dans les sections.
-         La mise sur pied d’un projet multimédia.
-         Le lancement des activités du COBANS dans les plus brefs délais
-         La mise en place d’une stratégie d’encadrement des jeunes et des agriculteurs.
-         Le respect des textes statutaires
-         Que le Bureau National réfléchisse sur les voies et moyens à utiliser contre les auteurs de malversations financières au sein de l’Amicale
-         Que chaque Congrès laisse au moins une réalisation dans le village hôte.


Sur les affaires culturelles et religieuses, le Congrès adopte :
-         La création d’une commission permanente de sensibilisation culturelle au sein du bureau national BANS en vue de promouvoir la connaissance de son arbre généalogique
-         L’élaboration d’un code de déontologie dans le cadre de l’appartenance de la famille Ndog Sul
-         Relance d’un dialogue interculturel fondé sur le respect des peuples  de leur tradition et leur culte.
-         Que les valeurs d’honnêteté et de bonne moralité soient inculquées pour la gestion du BANS tant au niveau national qu’au niveau des sections.
-         La promotion de l’implication efficient du Mbog dans la gestion de la cité.
Sur les finances. Le Congrès adopte :
-         Que le bureau entrant recense tous les actionnaires en vue d’organiser une Assemblée Générale  de la COBANS pour arrêter une feuille de route pour son lancement .
-         Que toutes les sections aient une existence légale afin de leur permettre d’épargner et d’ouvrir des comptes bancaires pour sécuriser leurs fonds; que les sections soient assistées dans ce processus par la Commission Juridique et de règlement des conflits.
-         Que pour un meilleur suivi et plus de transparence dans la gestion des finances, la programmation régulière des réunions d’intersections au cours desquelles un Rapport financier détaillé soit présentée en début de chaque exercice.


Fait à  MAMBINE le 27 mai 2012

BUREAU ELU DE LA SECTION BANS DE DOUALA

Président de Section: BEND Pierre Joseph

1er Vice-Président: Me KACK Serge

2e Vice-Président: NYOBE Paulin

Secrétaire de Section: NYOBE Michel

Secrétaire de Section Adjoint: BOGMIS Fils

Trésorier: YOMB BAYIHA Fleuri

Trésorier Adjoint: NGO KACK Agnès

Commissaires-aux-comptes: BASSO Albert

                                           NGO LIBAM Véronique

Conseillers: TAM II Pierre

                   SAMNICK Alain

                   IBOM Janvier

                   NGWE Germain

                   BIBOUM Alexis

                   MBEY Fridolin

ACTIONS DE DEVELOPPEMENT DES CONTREES NDOG-SUL: RAPPORT DE MISSION DU SECRETAIRE GENERAL ADJOINT AU PRESIDENT NATIONAL.

De : Nguidjoi Janvier françois <jnguidjoi@yahoo.fr>
À : MINKA Lucien
Envoyé le : Vendredi 30 novembre 2012 14h06
Objet : Compte rendu mission AC Conseil

Faisant suite à votre discours programme où vous avez vivement pris l'engagement d'aider les Ndog-sul à combattre la pauvreté, à tourner le dos à l'assistanat et à apprendre à se prendre en charge, vous avez bien voulu inviter un Cabinet d'experts en développement à l'occasion de la réunion d'intersection tenue à Mambinè le 18/11 2012 pour accompagner le BANS en général et chaque ndog-sul soucieux et conscient des enjeux en particulier dans cette voie de l'émergence.
A cette occasion, il vous a plu de désigner une équipe focale BANS pour veiller et suivre en collaboration avec nos partenaires en développement la mise en œuvre de ce programme. A cet effet, nous avons tenu ensemble le 21/11/2012, une rencontre pour entrevoir un plan de travail. Afin de lier le discours à l'acte nous avons arrêté l'année 2013 comme année pilote ainsi, nous avons planifié des descentes sur cinq Zones pour le lancement et toucher du doigt, les réalités du terrain sur le plan infrastructures, préférences au niveau des spéculation agricoles, élevages,....
Pour le succès de cette opération, vous avez ordonné la sortie d'une somme de 400 000FCFA repartie comme suit:
- 300 000FCFA pour le Cabinet AC Conseil
- 100 000FCFA pour l'équipe focale (le Vice-Président NJECK Simon Pierre et moi SGA1).
Le programme de descente tel que initialement fixé prévoyait:
Samedi 25/11/2012
*Zone1(Lihong-Bobog2-Bobog1) 09heures à Bobog2
*Zone2 (Manyai-Mayebeg-Ngoung-Lamal pougue) 13heures à Mayebeg
*Zone3 (Mambinè-Lindoi) 16heures à Mambinè et couché.
Dimanche 26/11/2012
*Zone4 (Mamboun-Boumkok) 09heures à Boumkok;
*Zone5 (Mom2 Mambando Song-ntap) 13heures et fin de la tournée.
Malheureusement une incompréhension sur le programme a entraîné un retard énorme bouleversant toute la tournée. C'est ici le lieu de reconnaître l'engouement né à la suite de l'annonce de cette mission. Nous l'avons observé à travers la grande patience dont nos populations ont fait montre. prévue à 9hures, c'est autour de 14 h que nous sommes arrivés à Bobog. Avec une participation honorable des trois villages et de leurs chefs, nos experts ont touché les esprits des nôtres qui, très rapidement ont marqué leur adhésion massive d'abord en ce qui concerne le CACAO, le MAÏS, l'ELEVAGE...
Nous avons par ailleurs fait le point des villages qui ne disposent aucun puits d'eau. Rappelons qu'une autre zone a été introduite (Mamguenda-Bibodi) à Bibodi.Ici, nous avons rencontré quelques difficultés relatives à la non organisation de la section de Bibodi; qu'à cela ne tienne, après bibodi nous avons mis le cap sur la zone2 à Mayebeg comme à Bobog tout s'est bien passé sauf le gros retard que nous avons accusé. Fort de ce qui précède, nous avons reporté la zone3 pour dimanche. Vue cette improvisation nous avons été obligé de tenir une rencontre à Mambinè puis à Lindoi et nous avons mis le cap sur Boumkok. Nous avons rencontré d'énormes difficultés suite à la visite de l'Evêque à Boumkok. La réunion n'a pas pu se tenir et nous étions déjà autour de 17heure 30 nous avons résolu mettre un terme à cette tournée. En conclusion, sur 15 villages ciblés, 10 ont pu être touchés.Avec les sections, il a été décidé d'engager les travaux de pépinière pour ce qui est Cacao car il ne reste que le mois de décembre si l'on voudrait vraiment lancer en 2013. l'avantage qu'il faut signaler ici est que pour ce qui est des sachets, nos populations s'en procuraient souvent à 25, 30FCFA; le Cabinet AC conseil leur livre sur place à 7FCFA. Ceci a été bien perçu et ceux qui veulent faire dans le cacao ont pris l'engagement de se procurer les sachets; la date buttoir étant le samedi 10/12/2012. Pour ce qui est du MAÏS, il a été demandé que chaque village puisse constituer sa liste avec sa superficie. Nos partenaire ont conseillé qui faille aller raisonnablement entre 0,5 et 1hectare pour un début. Certains membres ont fait la promesse de mettre à la disposition du Bans du terrain pour les activité de la future société Coopérative suivant les modalités qui à définir le moment venu.

Discours prononcé par M. Lucien Célestin MINKA
après son élection à la Présidence du BANS.


Monsieur le Préfet du Nyong-et-Kellé,
Honorables Députés à l’Assemblée Nationale,
Autorités traditionnelles et religieuses,
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,

Je tiens tout d’abord à remercier Maître Etienne Gérard KACK KACK, ancien Président National du BANS, actuellement Conseiller Spécial, qui a su rassembler les Ndog-Sul pour les assises du présent Congrès Extraordinaire, après la disparition de notre illustre Président National Augustin Frédéric KODOCK, de regretté mémoire.

Je vous dis merci, vous mes frères, Présidents des grandes familles amies qui êtes venus nous soutenir et nous encourager dans cette exaltante et noble mission qui est l’organisation de nos familles.

A vous congressistes,
Jeunes Ndog-Sul
Femmes Ndog-Sul et tous les Ndog-Sul venus des différents coins, je vous dis merci pour l’attitude responsable dont vous avez fait montre tout au long de nos travaux.

Mon sentiment en ce moment où je prends la Présidence Nationale du BANS, est un mélange d’angoisse et de volonté, de tristesse et de détermination.

Car être appelé à conduire une grande famille Bassa, n’est pas chose aisée. Et lorsqu’il s’agit en plus des Ndog Sul – la plus grande famille bassa organisée – la tâche devient immense.

Vous avez à faire à toutes les couches de la société camerounaises, dont 70% représentent des couches vulnérables chez les Ndog-sul.

70% des Ndog-Sul dont l’orientation reste encore difficile malgré les 64 années du BANS.
Quelle angoisse !

Pourtant, ce n’est pas la volonté qui a manqué pendant que les différents Présidents se succédaient. Des efforts ont été faits, mais sans véritablement apporter un bouleversement dans les mentalités.

J’appelle aujourd’hui les autres 30% des Ndog-Sul à faire bloc pour soutenir nos villages qui continuent à sombrer dans la misère.

Ne restez jamais passifs devant une catastrophe.

Devant une catastrophe, vous n’avez qu’une chose à faire, c’est aider, c’est secourir.
Vous pensez rester indifférents ou vous enfuir, laissant les autres dans le malheur, la catastrophe vous rattrape.

Le malheur n’est pas l’affaire des autres. Tout le monde a besoin du mieux-être.
J’accepte prendre la présidence de BANS pour rassembler toutes les filles et tous les fils Ndog Sul même ceux qui se seront mis en marge, quelle que fût la raison. Nous ne sommes pas un parti politique que l’on peut quitter à volonté pour rejoindre un autre. Vous êtes tous des Ndog Sul et cela ne peut être autrement, nous avons besoin de vous tous pour l’immense tâche de développement qui est la nôtre.

Je suis un farouche ennemi de l’inaction, de la morosité, de la sinistrose et du fatalisme car, quand on compte sur le pire on y participe ; quand on compte sur le mieux on y contribue.

Je vous invite donc mes chers frères et sœurs à contribuer pour tendre vers le mieux.
Tendre vers le mieux c’est faire des progrès tous les jours ; c’est avancer tous les jours ; c’est poser des actions constructives tous les jours ; c’est faire un pas de plus tous les jours sur le chemin du progrès.

Nous cheminerons avec ceux qui sont prêts, ceux qui savent qu’il faut avancer tous les jours. Nous serons probablement rejoints sur ce chemin du progrès, par ceux qui auront eu la volonté par la suite.

 Nous n’accepterons ni être retardés dans notre avancée, ni être freinés par ceux qui auront choisi la paresse, l’oisiveté, l’alcoolisme et la toxicomanie.

Par contre, nous leur mènerons une guerre sans merci, avec l’appui des forces de l’ordre.

Comment expliquer que certains de nos enfants dorment encore affamés ; comment expliquer que certains de nos enfants ne peuvent pas aller à l’école et bénéficier de l’instruction qui ouvre les portes de la vie ; comment expliquer que certains de nos frères et sœurs déambulent à longueur de journées dans nos villes, alors qu’ils ont abandonné leurs terres coutumières qui ne demandent qu’à être exploitées ; comment expliquer que dans  nos villages, certains de nos frères et sœurs passent le plus clair de leur temps assis à la véranda des bars à la quête d’une hypothétique bière ; comment expliquer que certains de nos pères et mères ont pris pour activité principale, la pratique de la sorcellerie, de l’envoûtement, de l’empoisonnement, de la destruction des cultures, et ceci en y entraînant de jeunes enfants.

Il faut que tout cela cesse. Nous en avons les moyens si nous nous mettons ensemble.
Nous avancerons vers le haut mais, tout en sachant traiter les problèmes d’ici-bas.
Nous sommes conscients des difficultés inhérentes à la vie de nos populations villageoises:

-         Le manque d’eau potable
-         L’absence des pistes de collecte
-         Le manque de formations sanitaires
-         Le manque de salles de classes
-         L’absence d’électrification rurale, et j’en passe.

Avec notre détermination à tous, frères et sœurs, et l’appui des pouvoirs publics, nous arriverons à bout de ces calamités.

Dans les douze mois à venir, chaque village Ndog-Sul devra compter au moins deux forages d’eau potable, dont un au niveau de l’école publique. Une commission sera mise sur pied au courant de la semaine prochaine pour l’évaluation et la réalisation de ce projet.

Pour ceux qui voudront travailler, nous leur apprendrons à avoir de l’argent. Je dis bien à avoir et non à chercher. Car il est facile de passer toute une vie à chercher sans jamais avoir.

Nous nous organiserons en groupes de travail pour cultiver nos terres. Pour cela, nous irons prendre l’argent auprès des organismes étatiques, para étatiques et même privés qui attendent voir notre capacité d’organisation pour nous octroyer ces importantes sommes d’argent qui nous sont destinées.

Travailler nos terres est notre seule porte de sortie de la misère, et nous devons vite faire, car au dessus de nos têtes planent des vautours qui s’accapareront de tout espace non exploité.

 Des vastes exploitations conduiront inéluctablement à la construction des routes et des pistes de collectes. A la construction de nouvelles salles de classes, à l’électrification rurale et à l’amélioration des conditions sanitaires.

Nous sommes des êtres humains et avons dépassé l’étape de la vie animale qui se limite à la satisfaction des besoins élémentaires qui sont manger et dormir. Nous devons travailler pour notre bien être, nous devons améliorer nos conditions de vie et bâtir un monde meilleur pour les générations à venir. C’est notre mission sur cette terre, mission qui nous demande à travailler continuellement.

Nous avons commencé la création il ya quelques années d’une coopérative financière qui compte quelques dizaines de millions de francs CFA aujourd’hui. Nous allons finaliser cette création et commencer à mettre de l’argent à la disposition des membres pour le préfinancement de leurs travaux. Toutefois, nous attirons votre attention  pour que vous sachiez que l’argent n’est pas une fin en soi, mais un moyen pour atteindre un idéal.

Si vous n’avez pas de projet bien mûri, l’argent ne vous servira à rien. Nous vous invitons en conséquence dès maintenant à commencer à élaborer votre projet.

Nous avons invité certaines familles Bassa à se joindre à nous, pour les présents travaux. Nous qui nous ont agréablement surpris dans leurs discours respectifs centrés sur l’union. Nous les prions à prendre une part active dans nos réflexions et ne pas hésiter à se joindre à nous pour plus de dynamisme et de crédit. Il n’y a pas de vrai bonheur à être heureux tout seul. Il est temps que nous apprenions à fédérer nos forces, à travailler ensemble pour plus d’efficacité. Pour le bien de nos peuples, mettons nos intelligences ensemble, mettons nos moyens ensemble, mettons nos forces ensemble ; l’individualisme n’est plus d’actualité dans ce monde de globalisation.

Chers Présidents des familles amies. Les Ndog-Sul ont créé leur association en 1948 dans le but de se connaître et de s’entraider. Plusieurs années plus tard, vous nous y avez rejoints. Nous croyons sincèrement qu’il est temps que nous passions à un stade plus dynamique qui tranche net des longs et beaux discours, des chèvres et des gros mets de concombre. Aujourd’hui, nous vous tendons la main. Rejoignez nous et ensemble cheminons vers la prospérité.

La prospérité doit être organisée, suivie et quantifiée. Dès aujourd’hui, mettons une organisation ensemble, suivons la, et mesurons-en les résultats tous les ans. Nous parlions tantôt de 30% des Ndog-sul qui sont relativement nantis, mais mélangés au reste, leur prospérité est à peine visible. Il en est de même pour vous et pour toutes nos autres grandes familles.

Dans quelques jours, nous allons entreprendre des tournées pour visiter chacune de nos sections, chacun de nos villages. A chacune des étapes, nous exigerons la présentation d’une réalisation phare en prélude de toutes assises.

En adoptant tous le même mode opératoire, nous aurons engagé la vraie lutte contre la pauvreté dans les familles BASSA.


DU HAUT DU MONT MALABO
DES ENTRAILLES DE NGOG-LITUBA
DE L’ECORCE DE NOS FRONTIERES

Je lance un vibrant appel à toutes nos grandes familles BASSA à s’unir pour un développement réel.